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Kristina Lévesque

Enseigne le jiu-jitsu brésilien aux enfants


- Pratique le jiu-jitsu brésilien depuis janvier 2023
- Ceinture bleue jiu-jitsu brésilien
- Compétitrice JJB

Mon histoire

La première fois que j’ai mis les pieds au Centre d’Arts Martiaux Kaizen, c’était pour accompagner ma fille de 5 ans à son cours d’essai.

Nous avons toutes les deux adoré l’endroit, chaleureux et accueillant.


Avec le temps, en assistant régulièrement aux cours de JJB pour enfants, j’ai commencé à remarquer quelque chose de spécial. Juste après, les adultes arrivaient pour leur entraînement — toujours souriants, visiblement heureux d’être là. Il y régnait une énergie contagieuse qui donnait envie d’en faire partie.


C’est ce climat positif qui m’a donné le goût de me lancer. À 37 ans, sans aucune expérience en arts martiaux, j’ai décidé de commencer le jiu-jitsu brésilien. Mon objectif était simple : me remettre en forme et sortir de ma zone de confort. Je venais tout juste de m’installer dans la région, moins d’un an auparavant, et je cherchais un moyen de me reconnecter, de m’ancrer dans un nouveau passe-temps. 


Les premiers mois ont été un vrai défi. J’ai dû « apprendre à apprendre » le jiu-jitsu brésilien : retenir les noms des techniques, assimiler tout un nouveau vocabulaire, et comprendre ce que mon corps était censé faire. J’ai rapidement collectionné les bleus un peu partout. Mais à travers chaque courbature et chaque moment de confusion, je sentais que quelque chose en moi évoluait.


J’y ai pris goût, et à force d’assister à 4 à 5 cours par semaine, j’ai trouvé mon rythme et découvert une véritable passion pour le jiu-jitsu. L’obtention de ma ceinture bleue a été un moment marquant, empreint de fierté et d’émotion. Au fil du temps, l’envie de m’impliquer davantage s’est imposée tout naturellement. J’ai commencé à donner un coup de main en assistant coach Sam pendant les cours pour enfants.


Aujourd’hui, j’ai le privilège et le plaisir d’enseigner moi-même aux plus jeunes. Ce qui rend cette aventure encore plus significative, c’est que ma fille, qui pratique le jiu-jitsu depuis maintenant trois ans, m’aide à mieux comprendre la réalité des enfants de son âge — ce qui me permet de créer des cours adaptés et stimulants pour eux.

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